Dans la vidéo, Fred vit un véritable cauchemar, mais contrairement à ce que vous pourriez penser, cette situation n’est pas si fictive que cela. En tant qu’étudiant-es, vous devez connaître les règlements qui cadrent vos travaux académiques.
A l’Université de Genève, les étudiant-es sont soumis à la Directive en matière de plagiat des étudiant-e-s. Ses éléments-clés sont :
"Le plagiat consiste à insérer, dans un travail académique, des formulations, des phrases, des passages, des images, ou des chapitres entiers, de même que des idées ou analyses repris de travaux d’autres auteur-es ou notamment produits avec un outil d’intelligence artificielle générative, en les faisant passer pour siens. Le plagiat est réalisé par l’auteur-e du travail soit par l’appropriation active desdits éléments, soit par l’omission de la référence correcte de façon intentionnelle ou non."
"[Des] vérifications sont […] pratiquées sur les mémoires de master et de bachelor, et sur les autres travaux de recherche, dans tous les cas de soupçon de plagiat, ainsi que par échantillons aléatoires."
Par ailleurs, sachez que de plus en plus de mesures sont prises par l’Université pour aider le corps enseignant à détecter les situations de plagiat. Un module du logiciel de détection de plagiat Compilatio utilisé à l’UNIGE est intégré à Moodle pour permettre aux enseignant-es d’analyser directement les documents déposés par leurs étudiant-es.
N’hésitez pas à vous y référer, nul-le n’est censé-e ignorer l’existence de cette Directive !